Ni adepte du refus systématique, ni soupçonnable de complaisance, l’UNSA est bien décidée à faire entendre sa voix.
L’UNSA prône et pratique un syndicalisme réaliste, pragmatique, réformiste.
L’UNSA privilégie le dialogue et la négociation pour faire aboutir les revendications de ses adhérents et pour faire progresser son projet syndical sans négliger le rapport de forces nécessaire à cet objectif.
L’UNSA respecte l’identité de ses composantes, dans leur gestion interne, dans leur démarche syndicale, dans leur expression publique.
L’UNSA est une force syndicale interprofessionnelle qui syndique les salariés du secteur privé et du public.
Créée en février 1993 autour de cinq (5) organisations qui partagent les mêmes valeurs républicaines de laïcité, de démocratie, de solidarité, de liberté, d’humanisme et de justice sociale, elle compte aujourd’hui près de 200 000 adhérents actifs et retraités.
L’UNSA se donne comme mission de développer en France, en Europe et dans le monde un mouvement syndical réformiste, fort et uni, dans le respect des grands principes suivants : attachement à la laïcité de la République, à la démocratie, aux libertés, à la justice sociale, à la solidarité, à la défense du Service public, au droit à l’emploi, à la fraternité et la tolérance, dans la fidélité au principe de l’indépendance syndicale.
L’UNSA fait de la lutte contre les discriminations l’un de ses principes fondateurs. L’UNSA refuse toute forme de discrimination telle que définie par l’article L1132-1 du Code du Travail, conformément aux lois 2001-1066 du 16 novembre 2001 et 2008-496 du 27 mai 2010.
Nul ne peut se prévaloir d’une appartenance à l’UNSA s’il ne partage pas ces principes librement consentis.