L’UNSA-AAF était représentée par Emilie Cerisier et Franck Garrigues.
Bien que l’UNSA, ainsi que toutes les autres organisations syndicales aient déploré le fait que cette instance ne soit pas formelle et ne fasse donc pas l’objet d’un compte-rendu officiel qui serait envoyé à toutes les structures, ce point à date de la mise en œuvre de la Police Sanitaire Unique a permis de rappeler à l’administration les difficultés que cette dernière a engendré. L’absence de clause de revoyure ne va pas permettre d’augmenter les contrôles des établissements agréés comme cela était prévu et de respecter les 25 000 inspections programmées pour les DDPP en complément des inspections déléguées.
Les organisations syndicales ont rappelé que la supervision de la délégation était très chronophage et que les agents ne pouvaient pas réaliser leurs autres missions (y compris les établissements de denrées végétales ou d’origine végétale récupérés de la CCRF).
LA DGAL a répondu qu’elle en était consciente et qu’elle pourrait justifier de la non-atteinte des objectifs sur la (RD) directe et les DVOV (manque de données pour les agents sur les établissements à inspecter) mais qu’il était important de maintenir les contrôles des établissements agréés (à défaut de les renforcer).